Alors que son attelage arrivait à vue du Château de Turenne, le Vicomte pestait déjà contre ses laquais. Voyant qu’il n’y avait plus grande agitation à l’entré, il se doutait de son retard.
Mais qu’est ce que je suis trop bon de vous garder, en retard encore et toujours, je fais tous ce que je peux pour être à l’heure et il faut que vous perdiez mes malles. Si jamais j’ai raté le prononcé des vœux je vous assure que ça vous coûtera cher je vous ferai mettre dans les cachots du château d’Aix.
Il se calma enfin quand il vit l’imposante demeure de près, alors que le carrosse s’arrêta, on lui ouvrit la porte promptement, ses deux hommes d’armes l’attendant déjà, il donna rapidement quelques ordres pour que ses bagages fut décharger et monter au plus vite et que l’on installe prennent soins des chevaux, puis il pénétra dans le grand hall, bien évidemment personnes, tous était en train d’écouter la cérémonie, il pris alors la direction de la Basilique.